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Puis c’est au tour de la Rivière Makarora de nous tenir compagnie un moment. L’environnement de cette rivière est bien différent de celui du lac. Ici, nous sommes dans une forêt pluviale. C’est l’abondance sur les parois de la montagne où la végétation est très variée. Cela commence avec des plantes très colorées, de rases à buissonnantes, puis tout doucement tout s’accélèrent et les fougères, les arbustes, les arbres et les cascades prennent place. Nous nous arrêtons un moment pour faire une promenade dans la forêt et c’est pour nous toujours le même plaisir et la même curiosité pour découvrir ces endroits. C’est varié, c’est dense, c’est moussu et c’est parfumé.

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La rivière Makarora revient et elle s’éclate et surtout elle s’étale et quelle est belle dans ces « postures ». Là aussi les montagnes sont très boisées et avec ce temps elles nous paraissent plutôt noires que vertes. Encore un très joli tableau avec cette rivière.

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Peu après nous arrivons à Haast Beach et nous avons presque le souffle coupé à la vue de la plage. Le temps a changé, il est beaucoup plus clair et l’on peut penser que le ciel est en train de se déguiser en bleu.

En effet, quelle plage, elle est époustouflante ! C’est le vent du grand large transformé en brumisateur géant qui nous donne ce magnifique spectacle à l’atmosphère brumeuse, cotonneuse, bien enveloppante. Si c’est très beau à regarder c’est bien différent à côtoyer même bien équipé. On a intérêt à être bien ficelé dans ses « fringues », intérêt aussi à avoir ses lunettes bien accrochées sinon… eh bien, on perd la vue et ce serait dommage !

Et puis, il faut l’écouter cette plage. On peut dire que l’océan ici nous joue de la grande musique et de la musique très forte, du Wagner en fait. Les vagues arrivent, bien rythmées, armées d’une grande violence sonore dans les flux, mais les reflux sont beaucoup plus lents et nous donnent une musique presque douce, ruisselante, dont les instruments sont tous les petits graviers de la plage. Bref, flux et reflux ce n’est pas la même chanson mais les deux sont belles.

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Haast, c’est aussi un petit village et, bien que petit, il est coupé en trois morceaux et ces morceaux sont assez éloignés les uns des autres. Autrefois c’était un village baleinier et ce sont les vents violents de la région qui les ont fait fuir. Aujourd’hui, ce n’est plus qu’un point de passage pour les touristes qui vont visiter la zone des glaciers. On n’y voit pas grand monde mais les moutons sont très présents, très paisibles et chaudement vêtus !

Encore une fois : quel bel endroit et quelle superbe plage !

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Comme les autres, nous n’aurons fait que passer assez vite à Haast. Vraiment, c’est bien difficile de rester sur cette belle plage ou dans ce village où les adjectifs ne font pas long feu. Ainsi, au fil des pas, on ne dit plus que l’endroit est d’une beauté époustouflante, mais d’une beauté renversante ! Oui, ma Chère, c’est comme ça ici !

Nous reprenons la route et très vite l’on se rend compte que ce climat doit être normal car lorsque l’on voit l’état souffreteux de la végétation et notamment des arbres, et tout ce monde végétal « peigné » dans le même sens, on se dit que vraiment ça souffle beaucoup par ici.

Notre route alterne « à ras » la mer et un peu à l’intérieur des terres. Quand nous sommes près de la mer, c’est le vertige assuré avec une route de crête qui nous file de sérieux frissons et le panorama en bas, c’est l’océan déchainé autour d’énormes masses rocheuses granitiques. C’est « Bretonnant » là encore et c’est beau !

Puis nous approchons d’une zone de forêt pluviale alors c’est la folie en vert, en jaune et en tant d’autres couleurs, mais c’est surtout un grand fouillis de végétation dominé par les fougères arborescentes. Avec l’arrivée de cette forêt, nous sommes revenus au plus près de la mer et c’est au tour de la plage de Bruce Bay de nous étonner.

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Rien de vraiment changé par rapport à Haast : même vent, même grisaille mais la forêt en plus. Là aussi la plage est belle et attire les touristes qui aiment marquer leur passage en mettant un petit message sur les galets, c’est une tradition, alors nous l’avons fait aussi et ensuite, nous avons vite filé, bien décoiffés ! Sur cette plage, effets et méfaits des éléments sont bien visibles.

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Cette route de forêt est magnifique et quel dommage que le temps soit si « méchant ». Mais ici nous sommes dans une zone de climat extrême et nous sommes même en plein dans les 40ème rugissants ; donc rien de vraiment anormal.

Alors, on ne baisse pas les bras mais on s’active les jambes sur des sentiers bien mouillés et, malgré le mauvais temps, nous avons beaucoup de plaisir à randonner dans ces forêts qui tiennent notre curiosité a un niveau de gourmandise exceptionnel. Chacune de ces forêts a quelque chose de plus à offrir. Ici, c’est tout particulièrement la richesse de plantes très épanouies qui sont nées et qui vivent sur les arbres morts. Dans cet univers, la mort crée et développe le vivant.

Un peu plus tard dans la journée, une tache d’un bleu soutenu apparaît dans le ciel, ouah, ouah !!! Optimistes comme nous sommes, tout de suite nous pensons que le grand bleu partout c’est pour dans pas longtemps et que nous aurons ce beau ciel jusqu’aux glaciers…

Mais les massifs ne se dégagent pas très vite, seuls les sommets se libèrent des masses nuageuses et seulement un tout petit peu... La rivière ne retrouve pas non plus sa couleur lagon. Et puis, toutes les belles couleurs partiront et il ne nous restera qu’un très vilain gris qui nous accompagnera jusqu’au glacier « Fox ».

Après pas mal de temps, peu de kilomètres mais moult virages et pas grand monde, nous arrivons dans cette fameuse région des glaciers de Nouvelle Zélande et nous commençons par Fox. Fox, c’est à la fois le nom du village et du Glacier, nommés ainsi en souvenir d’un ancien Premier Ministre Néo-Zélandais, William Fox.

Le village est vraiment tout petit avec environ 290 habitants, mais on y trouve tout ce qui est nécessaire pour les touristes et ce n’est pas le logement qui manque. De même, c’est au village que l’on peut trouver les guides dont on peut avoir besoin que ce soit pour une simple promenade ou pour l’ascension du glacier, des promenades sur le glacier ainsi que pour des survols en hélicoptère avec dépose sur le glacier ou non.

Quant à nous, nous avons fait quelques sentiers sans toutefois faire celui de l’ascension car vraiment le ciel était trop gris et surtout trop bas. De plus, on le dit tout bas, mais nous n’avons pas été vraiment « touchés » par ce glacier. Nous l’avons trouvé très discret malgré ses 14 kilomètres de long et surtout il était vraiment très, très sale et donc sans vraiment de beaux reflets bleutés.

Après cette « coulée » de médisance, on doit absolument dire, par contre, qu’il est situé dans un magnifique environnement de massifs rocailleux et forestiers avec, à sa base, une magnifique rivière aux eaux incomparables ; c’est ce qui nous a le plus plu.

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Nous quittons « Fox » pour aller retrouver « Franz Josef », l’autre glacier de la région ainsi nommé par le géologue allemand Julius Von Haast en souvenir de l’empereur François Joseph 1er d’Autriche.

Là encore il y a le village et le glacier qui portent le même nom. Ce village avec ses presque 350 habitants se « pavane » dans un magnifique environnement.

Ce glacier a une longueur de 12 kilomètres et comme le précédent, il se termine en langue étroite coincée entre deux massifs. Il est un peu moins sale que le Fox !

Son environnement est particulièrement aride et sauvage. De nombreuses cascades tombent un peu partout autour de lui. Des sentiers permettent de l’admirer sur toutes les coutures et nous l’avons fait et après cela la grisaille n’avait plus de secret pour nous…

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C’est beau ici mais on ne traîne pas. On commence quand même à être un fatigués par le temps, par le gris et surtout par l’humidité. Cela dit, nous ne sommes jamais découragés car il y a toujours quelque chose de superbe dans ce pays et de superbe même sous la pluie, même sous le gris et c’est le cas par exemple pour le beau lac Pukekura que nous suivrons un moment et dont la végétation tropicale nous étonnera à la fois par sa beauté et aussi par sa proximité avec les glaciers.  

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Ensuite nous aurons des prairies lumineuses au vert plutôt jaune et toujours des montagnes mais maintenant sans neige et ensuite c’est la rivière qui est jolie et bien petite dans son grand lit disproportionné, mais c’est vrai que son parcours est presque fini, la mer est tout proche et elle y court. Et nous, nous arrivons au village de Ross.

Ross, c’est petit, guère plus de 420 habitants, mais c’est connu et c’est charmant ! Et, c’est connu parce que, autrefois, il y avait beaucoup d’or dans le coin. Et puis aussi, c’est là que l’on a trouvé la plus grosse pépite d’or de Nouvelle Zélande et la « bête » elle faisait quand même ses 2,8 kilos ! Aujourd’hui, il y a encore un peu d’or et certains en vivent.

Avec ce passé bien « cultivé », Ross est devenue une charmante petite cité touristique où l’on peut découvrir ce passé aurifère au musée et l’on peut s’essayer à l’orpaillage ici ou là dans la région. Certaines maisons sont recouvertes de fresques représentant des scènes de la Belle Epoque aurifère. Le Pub est très accueillant et c’est un point de ralliement des motards de tout le pays ; du coup, nous avons une pensée émue pour notre petit Jim.

Bref, ce village est une jolie étape et les touristes y sont vraiment bien accueillis par une population réputée très cool et cela nous a semblé être le cas.

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A Ross notre ciel s’était un peu éclairci mais très vite, en nous rapprochant de l’océan, nous retrouvons un ciel très lourd, très gris, c’est du sombre… Puis notre route reste sur la crête, à ras l’océan et nous finissons par penser que nous avons de la chance de voir ce paysage sous ce mauvais temps car au moment ou nous y sommes, tous les éléments se mettent en place et en action pour un grand show dont le thème est « Violences de Dame Nature » et le spectacle se joue principalement sur la plage et c’est la plage de Punakaki. Les vagues, à l’avant plan, toutes bordées de larges ourlets blancs, y sont déferlantes, assourdissantes et tellement humidifiantes. A l’arrière plan, par contre, la mer semble morte, pourrait-on dire, tant c’est le calme plat. Ce calme et la couleur de l’eau si sombre, presque noire, nous imposent le respect tant tout cela transpire de menaces.

Dans le ciel c’est pas mal non plus. Les couleurs ne sont pas différentes tant il vrai que dans ce genre de lieu les couleurs des uns s’imposent aux autres. Les masses nuageuses vont très vite et quel spectacle nous donnent ici le vent et l’eau. L’éclairage y est donné par des masses de nuages d’un blanc lumineux un peu comme si le ciel captait le reflet de l’ourlet des vagues, alors que cela fonctionne dans l’autre sens ; magnifique éclairage. Nous sommes très mal sur cette plage par ce temps, nous avons froid et nous tenons à peine debout mais c’est si beau et tellement musical que nous résistons longtemps avant de quitter l’endroit. Cela dit, au bout d’un moment à se promener tout seul, dans cet environnement, si l’on se met à frissonner ce n’est pas sûr que cela soit parce que l’on a froid…Quel endroit et quelle promenade.

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La violence des éléments au moment où nous passons dans la région, ne nous fait pas oublier que nous sommes dans une région subtropicale et nous pouvons y admirer de magnifiques plantes tropicales et les palmiers ont très bonne mine.

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Ces merveilles se situent dans le Paparoa National Park. C’est le plus petit parc et le moins connu du pays et pourtant c’est dans ce parc que se trouvent les « Pancakes Rocks ». Après la plage de Punakaki, nous aurons une longue succession de plages sauvages, ventées toujours de façon violente et, à l’approche des « Pancakes Rocks » des blocs rocheux importants et très sombres font le paysage sur les plages et les brumes aussi.

Et c’est au tour des fameux « Pancakes Rocks » de nous montrer les « galettes » !

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Jusqu’à maintenant, dans ce parc maritime, c’était force et violence, mais dans cette zone des Pancakes c’est pire encore et l’on a le sentiment de vivre dans un environnement surnaturel piloté par la démence. Les conditions météo du moment nous plongent dans les superlatifs du pire.

Mais, revenons aux Panecakes. Il s’agit d’une importante zone d’énormes falaises constituées de non moins énormes roches calcaires érodées par l’eau, le vent et les marées et tous ces éléments ont fini par façonner ces falaises par des empilements de couches de roches telles des piles de crêpes.

La présentation est très désordonnée et ces falaises ne sont pas spécialement en lignes mais plutôt en « paquets », si l’on peut dire, plus ou moins espacés les uns des autres. Entre chaque paquet, à marée haute, la mer s’active avec un tel acharnement que là aussi c’est frisson garanti. Dans certains espaces étroits, on se retrouve face à de violents geysers verticaux qui nous laissent sans voix et nous font reculer à grands pas. Mais, c’est quand la mer a réussit, à force de ténacité dans sa violence, à creuser des ponts, des anses verticales ou des arches dans ces masses rocheuses que l’on a le sentiment de pouvoir apprécier la mesure de la force des éléments, mais évidemment, ce doit pouvoir être pire. Ici, ce n’est qu’un petit aperçu des 40ème Rugissants de la Mer de Tasman.

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Nous avons été bien impressionnés, bien trempés, très intéressés et nous avons bien frissonnés dans ce parc, mais cela nous a beaucoup, beaucoup plu et nous sommes restés la nuit tout près de cet environnement « musical ».

Après cela, une nouvelle fois, nous quittons la mer pour la forêt pour rejoindre le canyon de Pororari River. Si en quittant la mer le vent nous a quitté, la pluie est venue le remplacer accompagnée du brouillard.

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Malgré cela, nous décidons quand même d’aller faire la marche dans le canyon car les falaises y sont dit-on exceptionnelles ainsi que la végétation. Bien harnachés, nous prenons le sentier qui longe la rivière et très vite nous pouvons en effet admirer la végétation de l’endroit qui est particulièrement variée et vraiment très belle et tellement propre. Les lobelias parées de fleurs blanches sont éclatantes planquées sous les grandes fougères arborescentes. Les arbres morts couchés en travers de la rivière et recouverts de mousses et autres plantes arrivent, malgré le brouillard à se refléter dans l’eau. Bref, toute la végétation est resplendissante et si abondante que parfois il faut l’écarter pour avancer dans le sentier.

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Quant aux belles falaises du canyon, elles ont été très discrètes, mais nous sommes sortis de ce canyon, enchantés par la beauté et la richesse de cette forêt pluviale.

C’était bien mouillé tout ça…

Et l’on repart et l’on a hâte de trouver du bleu au-dessus de nos têtes. Après le monde végétal, nous retournons vers l’océan pour retrouver le monde animal à Tauranga Bay.

C’est au Cape Foulwind que nous prenons un sentier côtier pour rejoindre la baie. Ici aussi, les éléments sont déchaînés et l’environnement montre bien que ce sont eux qui le dessinent. La côte est très déchiquetée avec d’importants amoncellements de roches granitiques battus par la mer. De même, l’on peut apercevoir de nombreux gisements rocheux à fleur d’eau. Cela ressemble beaucoup à notre Bretagne. La végétation est très présente avec d’énormes agaves et autres plantes du même genre particulièrement décoratives.

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Par contre, nous sommes étonnés de ne pas rencontrer d’animaux sauvages terrestres si ce n’est quelques oiseaux d’un genre étrange. En effet, la plupart des oiseaux que nous rencontrons ne volent pas ou peu. C’est le cas, notamment, du Kiwi, du Kea et du Weka que nous avons sous les yeux dans ce sentier.

Le weka c’est une « belle » bête puisqu’il pèse environ 2 kilos et mesure 30 centimètres de haut quand il est adulte. On ne peut pas dire qu’il soit beau. Son plumage en beige, brun et roux n’est pas vraiment chatoyant. En plus, il pleut et cela lui donne un air de « poule mouillée » ! Certes, il ne vole pas mais quand même il saute, en s’aidant de ses ailes, pour atteindre les branches basses des arbres ou les rétroviseurs de John et c’est un excellent nageur. Et puis, ces oiseaux ont une curiosité tellement développée qu’ils ont finalement un comportement d’animaux domestiques.

Du côté de la mer, les animaux sont plus présents et dans cette région les lions de mer sont nombreux sur les amoncellements rocheux dans la mer ou sur la plage ; nous les adorons. Ils ont l’art et la manière pour nous rendre une âme d’enfant.

Tout ces animaux sont réellement motivant pour nous faire avancer avec ce mauvais temps et nous finissons par arriver aux termes de la balade : la Baie de Tauranga. On ne décrit pas, ce serait se répéter, c’est à regarder…

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Après plus de quatre heures de marche sous la pluie, on fait une colère, la pluie ça suffit, et on décide de rouler jusqu’au ciel bleu ! Bref, c’est la fuite en avant direction Wesport où là nous décidons de quitter cette côte ouest et de filer directement sur la côte nord de l’île.

Bien nous en a pris car sans trop attendre nous avons vu les choses s’arranger sur un joli parcours vallonné et avons pu voir le ciel s’allégeait et ainsi redonner de la lumière aux rivières, mais surtout la route est devenue enchanteresse toute bordée d’énormes massifs de genêts qui illuminaient tout le paysage et il en sera ainsi jusqu’à la ville de Nelson. Magnifique, on y croyait plus…

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Mais, finalement, tout est normal, puisque nous sommes dans la région du pays la plus ensoleillée.

Le nord de l’île du sud se divise en deux pointes qui sont deux provinces : celle des Marlborough à l’est et celle de Nelson à l’ouest. Evidemment la partie centrale est la plus abritée et c’est là que se niche la ville de Nelson. Ces pointes sont d’une grande richesse touristique avec un superbe littoral, des plages de rêve, la montagne qui ne demande qu’à faire découvrir la mer vue d’en haut et une végétation variée. Cette région est aussi réputée pour sa faune marine.

Quel plaisir pour nous en arrivant ici de retrouver des couleurs douces, de tenir debout sans problème sur les plages et d’avoir chaud et surtout d’être sec.

Et puis, se retrouver à Nelson, ville de près de 50 000 habitants, ce n’est pas mal non plus car vraiment les villes sont rares sur la route. Nous y sommes jour de marché, c’est presque jour de fête. Nelson est la capitale de la région du même nom. C’est une ville qui vit principalement de l’agriculture, de la pêche et du tourisme. On s’y sent bien tant elle est enveloppée de douceur.

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Cette douceur ne nous retiendra pas longtemps à Nelson car le tout proche Parc National Abel Tasman regorge de merveilles naturelles. Pour visiter ce parc, Kaiteriteri sera notre camp de base.